Песня «Ce soir je m'en vais»
исполнителя Jacqueline Taieb.
Скачать или слушать онлайн

00:00/00:00

Текст песни:

Ce soir, je m’en vais, hélas, il est fini Le beau voyage à Londres, demain je serai à Paris. Je sens mon cœur si lourd, j’ai envie de pleurer Et je ne peux pas croire que maintenant, je dois m’en aller. M’en aller de ce pays, retrouver mon ancienne vie Quelques souvenirs de plus et le nom de quelques rues Les derniers disques parus. Je suis sur le quai, le bateau va partir. J’agite mon mouchoir mais je n’arrive pas à sourire. Mes amis sont venus, on prend quelques photos Qui rappeleront le temps de mes vacances finies, c’était trop beau. Si vous venez à Paris, on s’amusera bien aussi. On s’embrasse une dernière fois, vous vous éloignez déjà Et vous souriez, mais toi… Tu restes dans ton coin, tu m’appelles pour me dire Que tu aimerais bien pouvoir tout laisser et partir. Goodbye my love, goodbye, je ne t’oublierai pas Et quand je reviendrai à Londres, ce sera surtout pour toi. Dans ton pays merveilleux, nous avons été heureux. Je t’écrirai dès demain, l’Angleterre, c’est pas bien loin. Je t’assure, je reviendrai. Lalalala lala lalalala lala, lalalalala lala lalalalala lala. Goodbye my love, goodbye, je ne t’oublierai pas. Goodbye my love, goodbye, goodbye goodbye goodbye goodbye. Goodbye my love.

Другие песни исполнителя:

  • Il est sept heures du matin Faut s’réveiller Ah ! j’ai sommeil ! Bon alors, un peu de musique Pour se mettre en train J’sais pas, moi Quelque chose comme «Talking about my ge-ge-ge-generation» Ouais ! C’est pas tout à fait ça ! J’trouve plus ma brosse à dents ! Où est-elle passée, celle-là encore? La bleue est à mon père La rouge est à ma mère La jaune est à mon frère Z’avez pas vu ma brosse à dents? Tiens! On est lundi aujourd’hui Ah ! Pour demain, j’ai un devoir d’anglais Hum ! J’aim’rais bien avoir Paul McCartney Pour m’aider ! J’ai envie de mettre un disque Pour embêter les voisins Qui roupillent toute la journée Quelque chose comme un bon Elvis Presley Ah ! C’est vrai, celui-là, il en est resté à «Be bop boum rock bam boum» Un peu d’eau sur la figure Pour me réveiller Le dodo c’est terminé ! Je suis presque prête et ça va beaucoup mieux Je mets mon shetland rouge ou bien mon shetland bleu? Mon shetland rouge? Mon shetland bleu? Hum ! Mon shetland rouge
  • Assise sur les bancs du grand amphithéâtre Tout près de la sortie c’est une place en or Je regarde les gens qui meublent ce théâtre Et qui baillent et rebaillent et qui rebaillent encore Le professeur fait son cours sur l’histoire d’Angleterre En 1066 invasion des Normands, en 1338 il y a eu la guerre Celle qu’on a appelé la guerre de cent ans Qu’est-ce qu’on se marre à la fac de lettres J’en ai encore pour quelques années peut-être Qu’est-ce qu’on se marre à la fac de lettres Mais enfin vers midi le cours est terminé Deux heures de cours ça creuse et ça semble bien long Cent balles dans la machine et vous pouvez manger Des sandwichs au jambon où y a pas de jambon Les étudiants déjeunent ou bien se désaltèrent Moi je pense à lundi où je serai au studio Sans oublier que les mines de charbon d’Angleterre Se trouvent à Liverpool, à Cardiff et Glasgow Qu’est-ce qu’on se marre à la fac de lettres J’en ai encore pour quelques années peut-être Qu’est-ce qu’on se marre à la fac de lettres Assis tout près de moi, il y a des gens de psycho Des petits gars boutonneux qui parlent de leur âme Et avec de grands gestes, chacun fait son solo Sur la pensée de Kant, de Bergson ou de Sartre Quand ça devient mignon, c’est une licence de lettres Petit costar cintré, grande fente dans le dos Qui vous dit volontiers, avec fierté peut-être Je ne lis que Gide, Verlaine ou Rimbaud Qu’est-ce qu’on se marre à la fac de lettres J’en ai encore pour quelques années peut-être Qu’est-ce qu’on se marre à la fac de lettres
  • Viens avec moi Je connais bien par ici Tu vois tout ça? Pour moi c’est vraiment Paris Viens, je t’emmène Loin des voitures, loin du bruit Goûter au rêve Du printemps à Paris On va s’asseoir Sur les marches du Sacré-Cœur Et tu vas voir C’est presque ça, le bonheur Prends ta guitare Chante un air de ton pays Tu peux me croire Tu n’déranges personne ici Lève la tête Et vois, déjà c’est la nuit Ce serait bête De ne pas rester ici Entre tes doigts Qu’il est joli, cet accord J’aime ta voix Chante donc un peu plus fort Un gars s’arrête Une femme qui passe nous sourit C’est jour de fête Le printemps à Paris Prends une orange Tu disais que t’avais soif Si tu la manges Te salis pas Paupières closes Tu mords à pleines dents le fruit C’est peu des choses Le bonheur à Paris
  • Une fleur entre les lèvres Un sourire au coin des yeux Un regard rempli de rêves Et de l’or dans les cheveux Il éteind sa cigarette Et me dit «venez danser» Comme c’est aujourd’hui ma fête J’ai envie de vous aimer Je m’avance vers la piste Il me serre dans ses bras Il me dit «vous semblez triste» Et je ne lui réponds pas Il me dit «je suis poète» Et carresse mes cheveux En levant un peu la tête Je vois qu’il a les yeux bleus Le cœur au bout des doigts, hey, hehey Le cœur au bout des doigts Le cœur au bout des doigts Et quand se termine la danse Il me parle de son chien De son amour pour la France De sa mère qui est loin Puis il me dit que sur Terre Il n’a eu qu’un seul ami Et qu’il déteste la guerre Je lui réponds «Moi aussi» On se quitte une fois mort Et le lendemain matin Il est là devant ma porte Une guitare à la main Et d’entrée soudain s’arrête Quand je lui dis qu’il est beau Et je ferme la fenêtre Et il tire les rideaux Le cœur au bout des doigts, hey, hehey Le cœur au bout des doigts Le cœur au bout des doigts